On pourrait penser que le court-métrage bénéficierait de moins d’appui. Cependant lorsqu’on analyse un peu les chiffres, la situation financière ne semble pas trop mauvaise. Le festival bénéficie d’un appui large, comme le BIFFF, d’une multitude de partenaires, comme la commune d’Ixelles, la Ville de Bruxelles, la Région, le VAF, etc. En comptant la Belgique, ce ne sont pas moins de 20 pays qui sont partenaires du festivals. Allemagne, Canada, Corée du sud, encore et toujours, en passant par la Norvège, la Suède ou l’Ukraine.
Ici, la production locale arrive en tête de liste suivi par la France et ensuite les Etats-Unis.
Nul doute que d’autres contraintes ici viennent intervenir. Il aurait été intéressant de bénéficier d’un entretien avec l’un des deux co-directeurs·trices du festival afin d’éclaircir quelques points. On constate que la sélection est quand même pour une grande partie située dans des pays d’Europe, exception faite du Canada et de la Corée du sud, une fois de plus bien classée (10e cette fois).