La lutte pour l’environnement à petite et grande échelle

Marc s’investit énormément pour l’environnement. A petite échelle, en utilisant des moyens de transport peu polluants. A grande échelle, en dirigeant une société qui investit à tour de bras pour un monde plus propre. Portrait d’un homme engagé.

Marc, directeur d’Umicore. © Sammy Grynberg

L’accueil dans son bureau spacieux est chaleureux. Marc est dans les starting-blocks, prêt à rejoindre le parking, où se trouvent les deux voitures qu’il utilise. Une hybride pour les longs trajets, une électrique pour les déplacements en ville. C’est plus pratique, plus écologique surtout. Aucune émission de dioxyde de carbone. Mais plus cher aussi, puisque « les solutions les moins onéreuses sont les plus polluantes« . A son échelle, Marc prend soin de « l’endroit où il vit« . Pour ne pas que les activités humaines « disparaissent plus précocement que souhaité ».

Nettoyage de pots d’échappement et recyclage

A plus grande échelle, aussi, il se décarcasse pour le bien-être de la Terre. Il dirige Umicore, une société active, notamment, dans le recyclage de batteries et de métaux précieux. « Des matériaux avec énormément de valeur sont remis dans le circuit, alors qu’ils seraient enfouis dans une décharge si nous ne faisions rien. Ce qui nous permet d’obtenir des métaux précieux avec une empreinte environnementale largement inférieure à ce que nous aurions obtenu si les produits étaient directement issus de la mine », explique-t-il.

Le recyclage n’est pas le seul pôle d’activité dans lequel Umicore a investi. L’entreprise mise aussi sur les véhicules propres. Elle nettoie les pots d’échappement des voitures grâce à ses catalyseurs automobiles. Avec une efficacité redoutable, puisqu’elle « élimine 99% des particules de suie des véhicules diesel« .

Répandre sa philosophie de travail

Marc se plaît énormément chez Umicore. Parce qu’il partage la philosophie de cette société, qui fait d’elle « un pionnier en matière d’environnement« . Pour rien au monde, ou presque, il ne travaillerait dans une entreprise moins propre. La seule chose qui pourrait le faire changer d’avis, c’est la possibilité d’importer ailleurs sa philosophie de travail. Pour que son attention pour l’environnement soit transmise de manière virale autour de lui. C’est une autre manière d’oeuvrer pour l’environnement. A son échelle.